Torno un po' bambina, torno un po' donna.
Forse torno in me, semplicemente.

Capisco che di posto ce n'è.
Tanto, ma non per tutti. Spesso, ma non sempre.

Mi adeguo per quel che mi riesce.
Rimango bambolina e rottame. Sono io.

Plutone è un gran bel posto, rimanerci servirebbe.
Per correre con più forza. Agire con leggerezza.

"Vedremo" è una bella parola. Vedremo davvero.
Voglio proprio vedere.

C'est quoi exactement qui nous fait dire: "Ça suffit, j'en peux plus"?
D'où vient cette lassitude qu'à un certain moment l'emporte sur le reste, sur tout ce qui était important jusque là?
Pourquoi l'esprit n'est-il pas toujours lucide, pour quelle raison on ne peut pas tout simplement suivre le chemin qu'on a bien clair dans la tête?
Ou bien, pourquoi est-il si difficile d'accepter qu'on est comme-ça, qu'on n'arrive pas toujours à comprendre tout le monde? Et que tout le monde n'arrive pas toujours à nous comprendre?
Pourquoi être humains entraîne-t-il une telle souffrance? Et pourquoi les gens qui normalement ont les mêmes impressions que nous ne changent jamais leurs avis?
Pourquoi a-t-on toujours l'impression que ce sont les autres qui ont raison? Porquoi on est toujours prêt à justifier tout le monde, mais pas soi-même?
C'est quoi exactement qui permet aux autres de rester si tranquils?
Pas de véritables réponses, il paraît, c'est plutôt le chaos.
Ce qui est à la fois dégoûtant et merveilleux.